Il était une fois. Des visages dans la nuit. Des "merci" et des sentiments accrochés à mes lèvres.
Il y a ces aubes. Les parapluies. Les parapluies savent tout de moi.
Il y a ces femmes, qui égrènent leurs mots, leur force aussi, au dessus de mon sommeil.
Les toits, les vieux immeubles gris, l'herbe coupée, les poulpes à manger et ceux à dorloter, nos cris, certains soirs de cuites, le pouf, les bordels, les plantes et le rose des baguettes.
Il y a ces envies, de sauver le monde, les mondes, les âmes, pas vos poumons.
Les images, cette force qui s'endort un peu trop parfois.
Pour le sourire des inconnus, en oubliant ceux trop connus, pour ne pas oublier de grandir, ce serait dommage, quoi qu'en pense Victor.
Pour ces prénoms, pour vous, pour moi.